Friday Night Lights
Dans la petite ville (fictive) de Dillon au Texas, une nuit compte dans la vie de ses habitants, celle du vendredi, soir de match pour les équipes de football américain du lycée… Eric Taylor, nouvel entraîneur de l'équipe de football américain du lycée de Dillon, doit gérer la pression que tout le monde met ...
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Terminée | Américaine | 45 minutes |
Drame, Drama, Sport | NBC, NRJ 12 | 2006 |
2 avis favorable
0 avis neutre
0 avis défavorable
4.11 - Préjudices
Injury List
L'équipe n'arrive pas à se concentrer sur son prochain match. Tami se retrouve au coeur d'une polémique. Vince veut mettre fin à son accord avec Kennard. Julie reçoit un coup de fil inattendu de Matt.
Diffusion originale : 27 janvier 2010
Diffusion française :
27 janvier 2010
Réalisat.eur.rice.s :
Seith Mann
Scénariste.s :
Kerry Ehrin
Guest.s :
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Avis favorable | Déposé le 27 septembre 2014 à 23:40 |
Un très bel épisode sur toutes les storylines, très souvent émouvantes. J'ai très rarement (voire jamais) vu le thème de l'avortement aussi bien traité que dans ces 2-3 derniers épisodes. |
La mère de Luke symbolise très bien l'hypocrisie d'une partie des USA, celle des conservateurs chrétiens. Car sous une carapace de pratiquante parfaite (elle rappelle à son fils de faire ses prières le soir) se cache une absence totale de compassion ou d'ouverture d'esprit qui se transforme en colère sourde. Il faut donc trouver une victime pour faire éclater cette fureur. Ce sera Tami, les pro-IVG, etc, etc, bref tous ceux qui ne partagent pas ses (fausses) valeurs.
L'épisode aborde aussi très bien un fléau du sport pro : la consommation massive d'anti-douleur. Pour avoir lu il y a peu un article dessus, c'est une énorme soucis et danger pour les athlètes qui se gavent de médocs pour continuer à jouer sans ressentir la douleur, ce qui très souvent aggrave la blessure.
Sinon un grand classique Tim Riggins : sa mauvaise réputation alors qu'il essaie juste d'être gentil.
Et Matt qui tente de revenir dans la série, vas-y Julie, te laisse pas faire. Tu es mieux sans lui.
Nous aussi.